En attendant

 

Je bois du café en attendant que ma laverie de couches ait fini de tourner.

Tous les deux jours, je descends en bas de chez moi, charge les bodys mouillés, les pyjamas maculés et mes habits sentant le lait caillé dans le tambour, avec une dizaine de couches lavables colorées.

Le rituel, pourtant fastidieux, m’enchante : j’étais malheureuse de jeter les couches en sachant qu’il faut 400 ans pour qu’une couche se décompose, et de savoir qu’un enfant génère une tonne de déchet de la naissance à la propreté.

Grâce à cette boutique, j’ai pu tester une dizaine de couches différentes pendant un mois et me sent motivées pour continuer.

Il faudra juste trouver un lot d’occasion sur ebay et le tour sera joué !

Cet après midi, je filerais à Montreuil, fouiner de stands en stands et découvrir les nouveautés dont j’ai un peu décroché depuis que je ne suis plus en poste à la rédaction. J’y trouverai peut être un livre que je cherche pour les enfants de Clem et de quoi ravir mes deux nièces de 2 et 4 ans.

Commentaires

1. Le lundi, 6 décembre 2010, 11:17 par Anne

Mon dieu tu es héroïque. Avoir un enfant en bas âge sans machine à laver ??? Rho. Respect.

2. Le lundi, 6 décembre 2010, 11:28 par Marloute

@ Anne : rien d'héroïque! Un appartement parisien de 39 mètres carrés! La cuisine et la salle de bain sont est si petites qu'une machine à laver n'aurait pas tenu...

3. Le lundi, 6 décembre 2010, 13:42 par Arkadia

C'est vrai que ça ne doit pas être facile, ce qui m'effraie ce sont les petites surfaces.

4. Le lundi, 6 décembre 2010, 20:21 par Valérie de Haute Savoie

On survit Anne, la preuve :D
Et j'avais en plus les combinaisons de chantier de JP que je lavais dans la baignoire à grands coups de brosse en chiendent !

Par contre, j'avais testé les couches en tissu, mais nous étions loin, très loin de celles qui existent maintenant, ma fille était complètement trempée dès qu'elle faisait pipi, j'ai donc repris les couches semi jetables.