Ma première journée chez moi depuis longtemps
Par Marloute le lundi, 1 octobre 2007, 18:33 - General - Lien permanent
J’ai voulu mettre à jour mon Windows.
Pas réussi.
Le CD d’installation qu’on m’a filé est daubé. Mal copié on dirait. J’envoie une candidature pour travailler sur les sites internet de Prisma Prousse. Je retranscris une interview. Bois mon café devant l’ordinateur. Je contacte une association de familles d’accueil pour mon article sur l’adoption. J’appelle d’autres associations car je commence un article sur Alzheimer. Je fais mes plats d’automne. Hier, des filets de sole aux noix et aux pâtes fraîches. Aujourd’hui filet mignon et clafoutis d’automne.
Je bois le café avec Y. en écoutant des sonates de Franz Shubert interprétées par la violoncelliste Anne Gastinel.
J’appelle mon père pour qu’il me fournisse un dossier de presse digne de ce nom, à envoyer à un site Internet qui m’en a fait la demande. Je passe des coups de téléphone. Je réponds à des mails. Je stresse en regardant mon Google agenda, qui est entièrement saturé de couleurs, pour annoncer mes différents rendez-vous et autres choses à faire dans les jours qui viennent. Une de mes interview sera ce soir à 20h ou 21h, en fonction des disponibilités de mon interlocutrice. Je termine un livre pour enfant. C’est un gros livre de philosophie qui s’intitule Histoire illustrée de la philosophie, par Bryan Magee.
Le livre se termine par ces mots : « Toutefois, la philosophie est semblable à la musique en ce que bien qu’elle ait de multiples usages pratique, sa valeurs suprême de réside dans aucun d’eux, mais dans ce qu’elle est en elle-même. Il se pourrait que, enfermés dans nos propres limites, nous nous ne soyons jamais capable de trouver les réponses à certaines de nos questions les plus essentielles. Mais comme ce livre a essayé de le montrer, nous pouvons faire de tels progrès dans notre compréhension de la condition humaine que, même si nous n’atteignons jamais un but ultime, nous vivrons ce voyage comme une expérience enrichissante, qui vaut bien d’être entreprise pour elle-même. Il n’y peut-être pas de réponses définitives, mais il y a un merveilleux savoir à acquérir ».
Ces mots me parlent, à la curieuse que je suis. Apprendre, toujours apprendre. Et questionner encore. Et savoir encore. Pour poser d’autres questions ensuite.
Pas réussi.
Le CD d’installation qu’on m’a filé est daubé. Mal copié on dirait. J’envoie une candidature pour travailler sur les sites internet de Prisma Prousse. Je retranscris une interview. Bois mon café devant l’ordinateur. Je contacte une association de familles d’accueil pour mon article sur l’adoption. J’appelle d’autres associations car je commence un article sur Alzheimer. Je fais mes plats d’automne. Hier, des filets de sole aux noix et aux pâtes fraîches. Aujourd’hui filet mignon et clafoutis d’automne.
Je bois le café avec Y. en écoutant des sonates de Franz Shubert interprétées par la violoncelliste Anne Gastinel.
J’appelle mon père pour qu’il me fournisse un dossier de presse digne de ce nom, à envoyer à un site Internet qui m’en a fait la demande. Je passe des coups de téléphone. Je réponds à des mails. Je stresse en regardant mon Google agenda, qui est entièrement saturé de couleurs, pour annoncer mes différents rendez-vous et autres choses à faire dans les jours qui viennent. Une de mes interview sera ce soir à 20h ou 21h, en fonction des disponibilités de mon interlocutrice. Je termine un livre pour enfant. C’est un gros livre de philosophie qui s’intitule Histoire illustrée de la philosophie, par Bryan Magee.
Le livre se termine par ces mots : « Toutefois, la philosophie est semblable à la musique en ce que bien qu’elle ait de multiples usages pratique, sa valeurs suprême de réside dans aucun d’eux, mais dans ce qu’elle est en elle-même. Il se pourrait que, enfermés dans nos propres limites, nous nous ne soyons jamais capable de trouver les réponses à certaines de nos questions les plus essentielles. Mais comme ce livre a essayé de le montrer, nous pouvons faire de tels progrès dans notre compréhension de la condition humaine que, même si nous n’atteignons jamais un but ultime, nous vivrons ce voyage comme une expérience enrichissante, qui vaut bien d’être entreprise pour elle-même. Il n’y peut-être pas de réponses définitives, mais il y a un merveilleux savoir à acquérir ».
Ces mots me parlent, à la curieuse que je suis. Apprendre, toujours apprendre. Et questionner encore. Et savoir encore. Pour poser d’autres questions ensuite.
Commentaires
Question honnête : pourquoi as-tu *besoin* de Windows plus que d'un autre système d'exploitation ? As-tu essayé par exemple Ubuntu ? (www.ubuntu.com/)
@Aurèle : Ah bhin non.
Merci !je vais voir ça...
J'ai vu qu'on parlait des c*amps d'i*ndiens dans le dernier Ly*on Cit*oyen... j'ai pensé à toi !
Et puis, si tu trouves le temps... tu pourrais faire des notes sur les "réunions" de rédaction dans un journal ? (le mot exact m'échappe...)
Ahhhh, la "conf' de rédact"... voilà bien longtemps que je n'y ai pas eu droit...
Bon, je peux te raconter une ou deux...
Zut, je vais devoirs modifier ton commmentaire... sinon, on va encore me pister comme une indienne... sur Google.
si tu préfères, tu peux même l'enlever, je ne serai pas vexée (je comprends !)