Prendre soin de soi
Par Marloute le mardi, 31 juillet 2007, 13:55 - Le divan de Marloute - Lien permanent
Ce matin, je me réveille comme tous les jours.
Sans réveil.
A l’heure que je désire. Comme je n’ai pas de travail urgent en cours, je lis dans mon lit jusqu’à 9 heures.
J’ai terminé hier un très beau livre de Lucia Etxebarria, Un miracle en équilibre. Ma mère m’a acheté hier No Kid, de Corinne Maier et je le dévore en me posant des questions…
L’appartement est frais, les fenêtres sont tout le temps ouvertes. Je fais des abdominaux sur mon tapis de sol. Une trentaine tous les matins depuis un an maintenant. Tous les matins au lever, depuis que l’ostéopathe m’a taquiné sur ma non-pratique du sport. J’ai des jolies plaquettes maintenant, mais je n’ai rien fait pour faire disparaître la graisse qui les recouvre. Peut être un régime, un jour, mais je n’ai pas envie. Je n’en ai jamais fait et je crois que c’est nocif, voir contre productif. Je compte plus sur le développement d’une activité sportive (quand j’aurais trouvé un truc qui me fera rigoler, ou qui me plaira vraiment) ou simplement une réduction des quantités de ce que je mange (je mange plus que ce que je dépense en énergie, étant toute la journée assise face à mon ordinateur !)
Je me fait un café. J’écoute la BO du film de Jacques Demy, Les parapluies de Cherbourg. Je chante. Je chante à tue tête des paroles d’un film (finalement vu) que j’ai adoré. Je veux acheter tout Jacques Demy.
Une copine m’appelle. Je me refais un café. Je reçois un coup de fil de R. Il me commande des critiques de film. Je les accepte. Je voudrais travailler à des textes littéraires, et m’y mettre cette semaine. Je ne sais pas si j’en aurais le courage.
Et ma tête est prise par d’autres problèmes : je ne sais pas comment je vais financer mon analyse. Je voudrais passer à trois séances par semaine. Pour cela, je dois à tout prix trouver un nouveau job d’appoint, parce que les piges n’y suffiront pas. Je me retourne le cerveau.
Envoie un ou deux CV (acte totalement inutile la plupart du temps) et je pense que je vais tout simplement solliciter mon carnet d’adresse. Leur dire que j’ai besoin d’autres pistes de boulot, même un 8ème de temps, pour financer cette année d’analyse.
L’après-midi est entamée. Je réfléchis. Prendre soin de soi. Manger 5 fruits et légumes frais par jour. Prendre le soleil. Travailler. Passer ce mois d’août qui s’annonce angoissant.
Sans réveil.
A l’heure que je désire. Comme je n’ai pas de travail urgent en cours, je lis dans mon lit jusqu’à 9 heures.
J’ai terminé hier un très beau livre de Lucia Etxebarria, Un miracle en équilibre. Ma mère m’a acheté hier No Kid, de Corinne Maier et je le dévore en me posant des questions…
L’appartement est frais, les fenêtres sont tout le temps ouvertes. Je fais des abdominaux sur mon tapis de sol. Une trentaine tous les matins depuis un an maintenant. Tous les matins au lever, depuis que l’ostéopathe m’a taquiné sur ma non-pratique du sport. J’ai des jolies plaquettes maintenant, mais je n’ai rien fait pour faire disparaître la graisse qui les recouvre. Peut être un régime, un jour, mais je n’ai pas envie. Je n’en ai jamais fait et je crois que c’est nocif, voir contre productif. Je compte plus sur le développement d’une activité sportive (quand j’aurais trouvé un truc qui me fera rigoler, ou qui me plaira vraiment) ou simplement une réduction des quantités de ce que je mange (je mange plus que ce que je dépense en énergie, étant toute la journée assise face à mon ordinateur !)
Je me fait un café. J’écoute la BO du film de Jacques Demy, Les parapluies de Cherbourg. Je chante. Je chante à tue tête des paroles d’un film (finalement vu) que j’ai adoré. Je veux acheter tout Jacques Demy.
Une copine m’appelle. Je me refais un café. Je reçois un coup de fil de R. Il me commande des critiques de film. Je les accepte. Je voudrais travailler à des textes littéraires, et m’y mettre cette semaine. Je ne sais pas si j’en aurais le courage.
Et ma tête est prise par d’autres problèmes : je ne sais pas comment je vais financer mon analyse. Je voudrais passer à trois séances par semaine. Pour cela, je dois à tout prix trouver un nouveau job d’appoint, parce que les piges n’y suffiront pas. Je me retourne le cerveau.
Envoie un ou deux CV (acte totalement inutile la plupart du temps) et je pense que je vais tout simplement solliciter mon carnet d’adresse. Leur dire que j’ai besoin d’autres pistes de boulot, même un 8ème de temps, pour financer cette année d’analyse.
L’après-midi est entamée. Je réfléchis. Prendre soin de soi. Manger 5 fruits et légumes frais par jour. Prendre le soleil. Travailler. Passer ce mois d’août qui s’annonce angoissant.
Commentaires
J'ai aimé Un miracle en équilibre...
(pour une fan de miel comme moi, il y a beaucoup de choses intéressantes...)
Pour le régime, moi j'y suis (à cause / grâce à mon médecin) mais c'est plus un rééquilibrage dans la manière de manger qu'un régime...
Pour les textes littéraires, viens lire mon blog ce soir...
Pour le "plus de sous", je croise les doigts, c'est tout ce que je peux faire...
Pour le mois d'août angoissant, respire !
... et enfin, j'ai commencé ton livre hier !
@Capitaine : Il est bien ce livre hein? Luci Exnsbdbththehebaria! Ca donne envie de lire tout ce qu'a écrit l'auteur!
Je crois que c'est une bonne chose de faire un rééquilibrage avec l'aide son médecin. L'idée n'est effectivement pas de priver son corps de ce dont il a besoin mais bien de ne pas créer de surplus!
Cool! Tu me feras ton compte rendu/impression par mail pour mon livre!