La tenue du free-lance
Par Marloute le jeudi, 8 février 2007, 17:36 - Travail journalistique - Lien permanent
C’est un fait.
Je ne suis pas sortie de la journée.
A la fenêtre, je vois le ciel s’obscurcir, et moi, je n’ai pas mis le nez dehors. Et je ne sais pas pourquoi, mais une voix en moi me dit : c’est MMMaaaaaallll. Pourquoi ? Je ne sais pas. Des réminiscences de ma mère, avec des injonctions du type : « Il fait beau, il faut sortir ».
Ouais.
En attendant, je bosse, personne ne me voit à part le chat, (qui ne se permettrait jamais une remarque, sinon, je le prive de croquettes). Donc, je mets des habits super moches. Genre un vieux jogging et un pull marin taché. Ce sont des tenues d’intérieur. Je ressemble à un gros sac à patate, et je ne suis même pas spécialement bien dedans…
Alors ? Alors il faudrait se reprendre en main Madame Marloute ! Ce n’est pas parce que tu es une satanée précaire travaillant de chez toi que tu dois te laisser aller !
Pourtant, j’ai trouvé un ou deux trucs qui fonctionnent chez moi. Par exemple :
1) Commencer à travailler avant 10 heures du mat’.
2) Ne pas avoir le PC dans ma chambre, histoire de pouvoir décrocher de temps à autre.
3) Me parfumer le matin. Ca peut paraître débile, mais c’est un peu comme si je partais au boulot. Hop, je me parfume !
4) Manger à midi pile, et reprendre à 14 heures piles, avec un café et tout. (Bon, normalement, si on se calque sur le rythme d’une rédaction, c’est plutôt de 13H30 à 15H30 qu’ils mangent mais bon….)
5) Vérifier de temps à autre ce que j’ai fait, via des minis bilan, chaque fin de semaine (Combien de reportages ? Combien d’articles rédigés ? Combien de propositions de sujets à des rédactions ? Qu’est ce qui est en cours ? Qu’est ce qui mérite d’être développé ? )
Bref, être free-lance d’accord, mais pas d’encroûtage, d'encroutation, d'encroutitude que diable !
Je ne suis pas sortie de la journée.
A la fenêtre, je vois le ciel s’obscurcir, et moi, je n’ai pas mis le nez dehors. Et je ne sais pas pourquoi, mais une voix en moi me dit : c’est MMMaaaaaallll. Pourquoi ? Je ne sais pas. Des réminiscences de ma mère, avec des injonctions du type : « Il fait beau, il faut sortir ».
Ouais.
En attendant, je bosse, personne ne me voit à part le chat, (qui ne se permettrait jamais une remarque, sinon, je le prive de croquettes). Donc, je mets des habits super moches. Genre un vieux jogging et un pull marin taché. Ce sont des tenues d’intérieur. Je ressemble à un gros sac à patate, et je ne suis même pas spécialement bien dedans…
Alors ? Alors il faudrait se reprendre en main Madame Marloute ! Ce n’est pas parce que tu es une satanée précaire travaillant de chez toi que tu dois te laisser aller !
Pourtant, j’ai trouvé un ou deux trucs qui fonctionnent chez moi. Par exemple :
1) Commencer à travailler avant 10 heures du mat’.
2) Ne pas avoir le PC dans ma chambre, histoire de pouvoir décrocher de temps à autre.
3) Me parfumer le matin. Ca peut paraître débile, mais c’est un peu comme si je partais au boulot. Hop, je me parfume !
4) Manger à midi pile, et reprendre à 14 heures piles, avec un café et tout. (Bon, normalement, si on se calque sur le rythme d’une rédaction, c’est plutôt de 13H30 à 15H30 qu’ils mangent mais bon….)
5) Vérifier de temps à autre ce que j’ai fait, via des minis bilan, chaque fin de semaine (Combien de reportages ? Combien d’articles rédigés ? Combien de propositions de sujets à des rédactions ? Qu’est ce qui est en cours ? Qu’est ce qui mérite d’être développé ? )
Bref, être free-lance d’accord, mais pas d’encroûtage, d'encroutation, d'encroutitude que diable !
Commentaires
J'ai préparé des concours en adoptant un peu les mêmes principes d'organisation. Ca marche bien ! Moi qui avait l'habitude de travailler en équipe, je me suis rendu compte que j'étais plus efficace de cette manière là; Bon courage Marloute !
Merci... Bon, pour toi les concours ont bien marché. Mais moi, je me dis que si ça se trouve (et en même temps, c'est ce que je souhaite) je vais faire ça toute ma vie! Tu te rends compte, je vais me transfomer en grosse moule au bout de quelques années, je ne serais même plus sortable!
Tu rêves ? Qans quelques années tu seras directrice de la rédaction de TON journal.
Ah oui, ce serait trop bien!