Une conf' de presse

Ya des matins comme ça, où je me lève un peu trop tôt, stressée parce qu’il y a une conférence de presse sur les abeilles à laquelle je veux assister. Quand j’ai mis mon blouson, je vérifie le trajet sur mon mail, et je me rends compte que la conférence n’est pas à 9 heures, mais bien à 11 heures. Des matins où je me dis : c’est pas grave, je vais bosser sur un autre sujet (un sujet société, sur Internet justement).
MAIS : je n’arrive pas à lire la pièce jointe que la réactrice en chef m’a envoyé. Et qu’il est beaucoup trop tôt pour appeler en demandant qu’on me l’envoie sous un nouveau fichier.
En arrivant à la conférence, je suis contente de retrouver des têtes connues, de grands journalistes parisiens que j’admire. Et je panique quand on nous distribue les nouveaux chiffres de l’apiculture, parce que ça veut dire que le papier que j’ai envoyé vendredi dernier au magazine Les 4 saisons du jardinage sont déjà obsolètes, et qu’il faut les reprendre (pourvu qu’on soit encore dans les temps, je déteste les trucs pas actualisés) Je reviens chez moi après avoir mangé avec des amis à Bastille et je rappelle en catastrophe la rédaction des 4 saisons. Pas de problème, j’ai l’après-midi pour reprendre mon papier.
Sauf que par une mauvaise manipulation (j’ai écris sur un ancien mail) je perds tout mon travail au moment de l’envoyer. Donc je recommence. Et puis la conférence a amené pas mal de nouvelles problématiques pour mon livre, donc je vais/(je dois ?/je m’oblige à) creuser un peu tout ça. Mais pas maintenant, parce qu’il faut que je parte chez ma psy, et que je passe à la bibliothèque.
Hummm, je me rends compte que même si je travaille cette nuit, je n’y arriverais pas. Bon. Voyons les choses autrement.
Et si je me dédoublais ?

Commentaires

1. Le mardi, 13 février 2007, 22:55 par captaine Lili

mystere... as tu reussi le dedoublement ?
:-)

2. Le mercredi, 14 février 2007, 11:41 par Marloute

Pffff, ratage total.
Il faut dire à ma décharge que j'ai passé la soirée avec une connaissance commune de notre ville natale.
Oh, làlà, le monde est tellement petit.
Je vais t'en parler par mail!