Pas l'envie de s'y mettre
Par Marloute le mardi, 30 janvier 2007, 12:43 - General - Lien permanent
Leeloolène est partie à Tahiti, et moi, je traîne, je traîne.
Je n’arrive pas à commencer à travailler. Rien ne m’y oblige, si ce n’est l’inévitable retard que je pourrais prendre si je laisse la situation se détériorer.
Je regarde ma boite mail. Bon, un colloque qui n’a pas l’air bien passionnant, auquel une rédac’ chef me demande un lapidaire Tu peux y aller ? Pas merci, pas s’il te plait… pas un angle, alors qu’elle a forcément une idée derrière la tête mais bon.
J’ai déjà mis des heures à me lever. J’ai pris un thé en écoutant des nouveaux titres de musique. J’ai joué avec le chat, qui joue avec mes stylos. Je me dis que c’est bien de ne pas avoir de chef derrière soi, mais que là, vraiment, il faut que je me bouge. Le téléphone sonne, je le regarde, pétrifiée à l’idée que ce soit un rédacteur en chef qui va m’engueuler pour ma fainéantise, car il SAIT, (bien, entendu, le rédacteur en chef est omniscient).
Non, c’est une amie, pour dire qu’elle viendra à ma fête vendredi.
Et puis alors que j’écris un mail fleuve à une autre copine, le téléphone sonne à nouveau. Cette fois c’est sûr, on m’a filmée, on va me faire avouer des horreurs, on a retrouvé mes empreintes génétiques sur le scooter du fils de Sarko que j’ai volé hier…
on va… non.
C’est une gentille attachée de presse –les attachées de presse sont toujours gentilles, sauf une, d’après Leeloolène- qui veut me proposer un livre. Je dis non, parce qu’après, je sais qu’elle rappellera pour savoir si je vais en parler, moi, la petite pigiste, parler d’un livre, où , comment ?
Bon.
Il est Midi passé.
Je n’ai pas du tout travaillé.
Il me reste l’après-midi pour m’y mettre. Ouf.
Je n’arrive pas à commencer à travailler. Rien ne m’y oblige, si ce n’est l’inévitable retard que je pourrais prendre si je laisse la situation se détériorer.
Je regarde ma boite mail. Bon, un colloque qui n’a pas l’air bien passionnant, auquel une rédac’ chef me demande un lapidaire Tu peux y aller ? Pas merci, pas s’il te plait… pas un angle, alors qu’elle a forcément une idée derrière la tête mais bon.
J’ai déjà mis des heures à me lever. J’ai pris un thé en écoutant des nouveaux titres de musique. J’ai joué avec le chat, qui joue avec mes stylos. Je me dis que c’est bien de ne pas avoir de chef derrière soi, mais que là, vraiment, il faut que je me bouge. Le téléphone sonne, je le regarde, pétrifiée à l’idée que ce soit un rédacteur en chef qui va m’engueuler pour ma fainéantise, car il SAIT, (bien, entendu, le rédacteur en chef est omniscient).
Non, c’est une amie, pour dire qu’elle viendra à ma fête vendredi.
Et puis alors que j’écris un mail fleuve à une autre copine, le téléphone sonne à nouveau. Cette fois c’est sûr, on m’a filmée, on va me faire avouer des horreurs, on a retrouvé mes empreintes génétiques sur le scooter du fils de Sarko que j’ai volé hier…
on va… non.
C’est une gentille attachée de presse –les attachées de presse sont toujours gentilles, sauf une, d’après Leeloolène- qui veut me proposer un livre. Je dis non, parce qu’après, je sais qu’elle rappellera pour savoir si je vais en parler, moi, la petite pigiste, parler d’un livre, où , comment ?
Bon.
Il est Midi passé.
Je n’ai pas du tout travaillé.
Il me reste l’après-midi pour m’y mettre. Ouf.
Commentaires
Comme je me retrouve ! J'ai passe ces jours dans les mails, les blogs... un peu ecrit, mais si peu... j'attends des choses alors je ne fais rien... je me dis "merde, c'est pas serieux" et apres, je m'endors super tard de culpabilite ! hi hi !